Sauvegarde
Que signifie la sauvegarde pour le ministère des transports ?
La protection est la responsabilité de l'organisation de ne pas nuire aux communautés avec lesquelles le ministère des transports travaille, et comprend des politiques, des systèmes et des pratiques visant à prévenir l'exploitation sexuelle, les abus et le harcèlement.
Le ministère des transports applique une politique de tolérance zéro à l'égard de tous les cas d'exploitation, d'abus et de harcèlement sexuels.
L'ensemble du personnel, des participants et des partenaires du Département des transports est tenu de respecter les normes de conduite et d'intégrité les plus strictes.
L'un des principaux piliers de la protection au sein de la DOT est notre code de conduite, que tous les employés de la DOT doivent signer et respecter dans tous les pays du réseau de la DOT.
Que fait le ministère des transports pour assurer la sécurité des personnes ?
Dans les pays où nous mettons en œuvre des projets mais ne disposons pas de bureaux physiques, nous avons du personnel spécialisé dans le pays qui soutient notre travail de sauvegarde.
DOT s'engage à créer des espaces, des programmes et des partenariats plus sûrs pour tous. Cet engagement est géré par le directeur adjoint de DOT Global chargé du genre, de l'inclusion et de la sauvegarde, et mis en œuvre par les points focaux chargés de la sauvegarde dans l'ensemble de notre réseau :
Région / Pays | Personne de contact | Courriel | Téléphone/SMS/WhatsApp |
---|---|---|---|
DOT Global | Meaghan Anderson | manderson@dotrust.org, safeguarding@dotrust.org | |
DOT Tanzanie | Sekela Mwaipaja | smwaipaja@dotrust.org, tanzania.safeguarding@dotrust.org | +065 520 8920 |
DOT Kenya | Beryl Olewe | bolewe@dotrust.org, safeguardingke@dotrust.org | |
DOT Rwanda | Judith Kabatesi | jkabatesi@dotrust.org | +250 0788 388 128 |
DOT Jordanie | Essaf Khater | ekhater@dotrust.org, safeguardingjo@dotrust.org | |
DOT Liban | Melany Keirouz | hrlebanon@dotrust.org, lbsafeguardingfp@dotrust.org | +961 81 313 867 |
DOT Éthiopie | Abeba Amha | aamha@dotrust.org | +251 911 028 037 |
Malawi | Ulala Kondowe | ukondowe@dotrust.org | +265 999 654 311 |
Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour assurer la sécurité des personnes :
- La prévention : Cela implique des politiques et des procédures claires, ainsi que la formation de tout le personnel du réseau DOT et de nos jeunes participants.
- Réponse : Il s'agit notamment de renforcer en permanence nos processus et de veiller à ce qu'ils soient clairs et accessibles à tous. Le ministère des transports maintient des canaux de signalement confidentiels et adaptés au niveau local pour signaler les incidents de SEAH, enquête sur ces signalements et tient les personnes responsables.
- Soutien : DOT s'efforce de mettre les gens en contact avec des ressources de soutien s'ils ont été victimes d'exploitation sexuelle, d'abus et de harcèlement, en utilisant des approches centrées sur les survivants.
- Apprentissage continu et création d'une culture de la sécurité : Il s'agit notamment de s'engager à respecter les valeurs du ministère des transports et de s'efforcer de créer une culture organisationnelle qui empêche les abus de pouvoir et donne la priorité à la dignité et à la sécurité de notre personnel, de nos participants et de nos communautés.
Le ministère des transports adopte une approche axée sur les survivants
Il est essentiel que nous nous efforcions d'établir et de maintenir la confiance avec les communautés que nous servons, et de réduire tout nouveau traumatisme si quelqu'un vient à partager son expérience avec nous. Pour ce faire, le ministère des transports veille à ce que ses approches en matière de sécurité des personnes soient non discriminatoires et respectent les droits, les besoins et les souhaits des survivants, y compris des groupes particulièrement exposés ou susceptibles d'être spécifiquement ciblés. Dans la mesure du possible, le ministère des transports préserve la confidentialité de toutes les personnes impliquées dans des incidents de protection tout au long du processus.
Vous trouverez ci-dessous quelques étapes à suivre, et le ministère des transports est là pour vous aider à naviguer dans ce processus :
- Eloignez-vous du danger immédiat. Votre sécurité est primordiale. Si vous êtes en danger, prenez toutes les mesures nécessaires pour vous mettre à l'abri du danger immédiat.
- Signalez l'incident. Vous pouvez signaler tout incident lié à l'EES et au harcèlement sexuel, ou faire part de toute question ou préoccupation concernant le ministère des Transports, son travail, son personnel, ses partenaires ou ses activités en utilisant l'une des méthodes suivantes :
- Vous pouvez signaler l'incident au SFP de DOT Global, au point focal de sauvegarde de votre pays ou à un autre membre de l'équipe de DOT avec lequel vous vous sentez le plus à l'aise. Vos coordonnées resteront confidentielles.
- Vous pouvez signaler tout problème en utilisant le formulaire ci-dessous.
*Si vous avez besoin d'une aide immédiate, nous vous encourageons à contacter d'abord le point focal de votre bureau local du ministère des Transports, si cela est possible, car il peut y avoir un délai de réponse en raison du décalage horaire au Canada. Toutefois, vous pouvez vous adresser à l'une des personnes-ressources susmentionnées avec lesquelles vous vous sentez le plus à l'aise. À chaque étape, votre consentement éclairé vous sera demandé avant toute autre action. Le fait de faire un rapport initial après un incident en utilisant les options de rapport ci-dessus ne constitue pas encore un rapport formel d'incident. Le ministère des Transports applique une politique de tolérance zéro à l'égard de tout incident d'exploitation sexuelle, d'abus et de harcèlement, et nous prenons très au sérieux la sécurité de nos participants et de notre personnel. Bien que nous fassions tout ce qui est en notre pouvoir pour préserver la confidentialité et centrer notre réponse sur les survivants, dans les situations où la sécurité d'autrui est menacée, le ministère des Transports est tenu d'agir sur la base des rapports qu'il reçoit. Si vous décidez de signaler officiellement l'incident, vous serez guidé pour soumettre un rapport à un membre du personnel désigné.
- Consultez un médecin. Nous vous encourageons à consulter un médecin pour veiller à votre santé et à votre bien-être.
Cela est particulièrement important si vous avez été victime d'un cas grave de violence sexuelle.
Il est compréhensible que ce processus puisse vous sembler insurmontable.
Prenez la décision qui vous convient le mieux.
- De nombreux médicaments destinés à prévenir les infections sexuellement transmissibles (IST) et/ou à sauver des vies doivent être pris dans les 24 à 72 heures.
- Vous êtes également encouragé, mais pas obligé, à consulter un médecin pour un examen médico-légal. Cela permettra de recueillir des preuves médico-légales qui pourront étayer votre rapport et éventuellement identifier l'auteur de l'infraction dans le cadre d'une enquête.
- Le point focal de sauvegarde du DOT peut vous accompagner pour vous apporter un soutien émotionnel et vous aider à vous orienter dans le système médical. Vous pouvez demander à ce qu'un autre membre de l'équipe du ministère des transports vous accompagne. Notez que le point focal de sauvegarde du ministère des transports a reçu la formation nécessaire pour vous apporter le soutien dont vous avez besoin. Vous êtes également libre de choisir d'y aller seul ou de ne pas y aller. Le ministère des transports continuera à vous offrir ce soutien si vous en faites la demande ultérieurement.
- Recherchez des soins psychosociaux. Les soins psychosociaux sont essentiels pour les survivants du SEAH. La décision de recourir à ce type de soutien appartient également au survivant. Le ministère des transports comprend qu'un survivant puisse choisir d'accéder à ce soutien, de le refuser et/ou de le demander plus tard. Le ministère des transports veillera à ce que ce soutien soit mis à votre disposition lorsque vous en aurez besoin.
- Vous pouvez choisir de signaler l'incident à la police. Le ministère des transports reconnaît que le signalement à la police d'un incident lié au SEAH peut traumatiser à nouveau un survivant ou entraîner des complications, car la confidentialité et la discrétion seront difficiles, voire impossibles, une fois que le signalement aura été effectué. Si vous souhaitez porter plainte et bénéficier d'un soutien, vous pouvez en informer le ministère des transports et le membre de l'équipe avec lequel vous vous sentez le plus à l'aise pourra vous accompagner au poste de police.
- Nous vous encourageons à documenter l'incident. Le ministère des transports vous encourage vivement à documenter l'incident.
Si vous souhaitez obtenir de l'aide pour consigner l'incident, vous pouvez travailler avec le point focal de sauvegarde du ministère des transports.
Si vous décidez de ne pas signaler l'incident au ministère des transports, il est néanmoins fortement recommandé de consigner l'incident avec le plus de détails possible, notamment
- Qui est impliqué - survivant, auteur(s) présumé(s), témoins
- Ce qui s'est passé - donnez autant de détails que possible, y compris l'absence de consentement explicite, en ignorant les signaux non verbaux, verbaux et physiques, etc.
- Lieu de l'incident - donnez autant de détails que possible.
- Quand l'incident s'est produit - indiquez la date, l'heure et la période, si possible.
- Ce que vous avez fait après - inclure des informations telles que contacter le DOT, aller à l'hôpital, jeter des vêtements, etc.
- L'aide nécessaire - y compris l'aide obtenue ou souhaitée, comme l'aide médicale, le soutien psychosocial, etc.
Le fait de documenter cet incident seul peut être angoissant. Si vous ne vous sentez pas à l'aise pour signaler l'incident au point focal de sauvegarde du ministère des Transports, nous vous encourageons à demander à une personne de confiance de vous aider à documenter l'incident.
Formulaire de rapport
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